Le projet de loi n°101 : mise en place d’un piège pour les victimes du travail
C’est ce matin à Québec que débutent les consultations sur le Projet de loi no 101 à la Commission de […]
C’est ce matin à Québec que débutent les consultations sur le Projet de loi no 101 à la Commission de […]
À l’automne 2024, le ministère du Travail annonçait la tenue d’une consultation sur la transformation des milieux de travail par les technologies numériques et son intention de l’encadrer législativement en révisant les lois touchant le travail.
Au moment d’écrire ces lignes, l’uttam travaille à l’organisation et la préparation de sa participation au grand Sommet intersyndical et populaire sur la santé et la sécurité du travail qui approche. Des centaines de personnes représentant toutes les organisations de défense de droits des travailleuses et travailleurs se réuniront à Québec à la mi-avril, dans l’espoir d’arriver ensemble à des solutions et revendications communes pour les combats à venir, pour la prévention et la réparation des lésions professionnelles.
Le travailleur, préposé à l’entretien ménager, glisse sur une plaque de glace sur la voie d’accès menant à son lieu de travail et subit une fracture à l’avant-bras droit. Initialement acceptée, la révision administrative renverse la décision et refuse sa réclamation. Pour l’employeur, le moment de la chute, survenue plus de deux heures avant le quart de travail, empêche la reconnaissance de la lésion professionnelle. Le travailleur demande au Tribunal de reconnaitre que sa chute est survenue à l’occasion du travail.
Alors que le premier entrepôt syndiqué d’Amazon au Québec tentait d’obtenir une première convention collective, la multinationale américaine annonçait, le 22 janvier 2025, la fermeture de ses sept entrepôts au Québec.
Je suis serveuse de métier. J’y ai travaillé pendant plus de 30 ans. Malgré ce qu’en pense la CNÉSST, c’est un métier extrêmement physique. Nous sommes toujours en mouvement avec quelque chose à la main. Nous servons et desservons des plateaux de nourriture et de boissons, les uns après les autres. Il faut dire que lorsqu’on est serveuse, une bonne partie de notre revenu dépend de la qualité du service que l’on offre aux clients. On a donc intérêt à faire vite et à bien faire!