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Le Sommet SST d’avril 2025 : une rencontre historique pour la classe ouvrière

Au moment d’écrire ces lignes, l’uttam travaille à l’organisation et la préparation de sa participation au grand Sommet intersyndical et populaire sur la santé et la sécurité du travail qui approche. Des centaines de personnes représentant toutes les organisations de défense de droits des travailleuses et travailleurs se réuniront à Québec à la mi-avril, dans l’espoir d’arriver ensemble à des solutions et revendications communes pour les combats à venir, pour la prévention et la réparation des lésions professionnelles.

Décisions récentes (Printemps 2025)

Le travailleur, préposé à l’entretien ménager, glisse sur une plaque de glace sur la voie d’accès menant à son lieu de travail et subit une fracture à l’avant-bras droit. Initialement acceptée, la révision administrative renverse la décision et refuse sa réclamation. Pour l’employeur, le moment de la chute, survenue plus de deux heures avant le quart de travail, empêche la reconnaissance de la lésion professionnelle. Le travailleur demande au Tribunal de reconnaitre que sa chute est survenue à l’occasion du travail.

Lorsque la CNÉSST banalise l’impact du travail sur notre corps, il faut se battre!

Je suis serveuse de métier. J’y ai travaillé pendant plus de 30 ans. Malgré ce qu’en pense la CNÉSST, c’est un métier extrêmement physique. Nous sommes toujours en mouvement avec quelque chose à la main. Nous servons et desservons des plateaux de nourriture et de boissons, les uns après les autres. Il faut dire que lorsqu’on est serveuse, une bonne partie de notre revenu dépend de la qualité du service que l’on offre aux clients. On a donc intérêt à faire vite et à bien faire!

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