Lorsque la CNÉSST banalise l’impact du travail sur notre corps, il faut se battre!
Je suis serveuse de métier. J’y ai travaillé pendant plus de 30 ans. Malgré ce qu’en pense la CNÉSST, c’est un métier extrêmement physique. Nous sommes toujours en mouvement avec quelque chose à la main. Nous servons et desservons des plateaux de nourriture et de boissons, les uns après les autres. Il faut dire que lorsqu’on est serveuse, une bonne partie de notre revenu dépend de la qualité du service que l’on offre aux clients. On a donc intérêt à faire vite et à bien faire!